Callie Paxton-Hawkings
Messages : 6 Date d'inscription : 11/03/2010 PSEUDO : lollipopxpower
| Sujet: CALLIE | this is a mad world ; done. Jeu 11 Mar - 17:03 | |
| CALLIE PAXTON-HAWKINGS© MYMZ On Reste Dieu merci à la merci d'un sacrifice.” PRÉNOM(S) ET NOM : Callie Paxton-Hawkings AGE ET LIEU DE NAISSANCE : 25 ans, née à Oslo NATIONALITÉ : Anglo-Norvégienne STATUT : Divorcée, 1 enfant MÉTIER ET/OU OCCUPATION(S) : Infirmière
CARACTÈRE : Ouais je sais, j'ai une gueule d'ange. Les choses font qu'on m'a donnée la chance de ressembler à quelque chose, carrément même. Je le sais, mes cheveux blonds et mon regard bleu font que les gens me voient. Je ne passe pas inaperçue, mais y'a cette image qu'on me colle direct quoi. De plus, j'ai beau me charbonner les yeux ou tester tout genres de coupes de cheveux, je garde ce visage d'ange. J'y peux rien, & aujourd'hui je l'accepte. Ma mère me disait souvent qu'à Oslo, et en Scandinavie en général, tout le monde à les cheveux blonds et les yeux bleus. Mais et alors ? Nous sommes ici, et ici les gens savent l'apprécier. Seulement, pourquoi devrais-je prouver au monde entier que je suis une "rebelle" ? Ne rigolez pas, ça m'a pris beaucoup de temps pour comprendre cela. Bref, j'ai donc l'air d'une fille plutôt posée, au grand sourire, follement généreuse et sage. Malheureusement, j'ai toujours voulue me démarquer. & oui, avec un enfant sous le bras et l'âge qui avant je devrais en avoir finit avec ce genre de comportement existentiel. Malheureusement ce n'est pas le cas. Je crois que j'ai un problème de vie : j'ai toujours besoin qu'on fasse attention à moi, que les gens autour de moi réagissent. Ouais, un problème identitaire ou un truc du genre. C'est peut être parce que je suis née dans une famille nombreuse et que j'étais au milieu en ayant l'impression qu'on s'en foutait de moi ? En tout cas j'ai développer un caractère des plus forts et instables. Je suis plutôt très lunatique et extrêmement susceptible. Je ne supporte pas avoir tord et je m'énerve très vite. Colérique, voilà le mot. Je suis quasi hyperactive et affreusement indépendante : je ne supporte pas avoir besoin de quelqu'un. Cela à un peu changé lors de la naissance de ma fille, mais mis appart elle j'ai toujours du mal à admettre que j'ai besoin des autres. Telle une gosse de cinq ans l'amour et la solitude me font pourtant peur. Aussi suis-je une grande gueule : j'insulte, j'use & abuse des gros mots & je suis toujours très franche, voir un peu trop. Non, je ne tourne pas autour des problèmes. Heureusement en même temps, car je les attires comme le miel attire les abeilles mes amis. Ouais, je pousse parfois à bout les gens autour de moi. mais sachez néanmoins que je suis tout de même très gentille, généreuse & sociable avec les gens en général. Je deviens juste une vraie peste lorsque je m'accroche trop aux personnes. Je me pose toujours trop de questions et je suis donc constamment pommée. D'après moi, je suis même une mauvaise mère.
TICS ET TOCS : - Née d'une mère norvégienne et d'un père anglais - A repris le nom de famille composé & anglais de son père - Troisième enfant sur six filles - Sa mère est décédée à cause d'un cancer il y a 10 ans - Est partie faire ses études en Amérique, New York, à dix huit ans - S'est mariée à seulement vingt-et-un ans - A accouchée d'une petite fille puis divorcée de son mari à vingt-trois ans - Elle est partie vivre chez son père militaire pour qu'ils s'entraident et fuir la solitude - Possède un chien, Popps - Fume comme un pompier - Est ici parce qu'elle a tout simplement suivit son père [personnage fictif] - Elle n'aime pas cet endroit et hésite à repartir, sans pour autant oser le dire - Sa fille s'appel Lou est a aujourd'hui deux ans - Vient d'apprendre qu'elle est de nouveau enceinte et le cache ___________________________________________________________
D'une mort à credit, d'un préjugé né d'un préjudice. ”
LA VIE DE VOTRE PERSONNAGE.
Je suis née en hiver, à l'hôpital principal d'Oslo, dans le centre. La Norvège, le pays de ma mère et de toute ma famille maternelle. Sur six filles, nous sommes quatre à avoir héritées de ses yeux océans et de sa chevelure blonde. Les deux autre ont eue les cheveux rouges flamboyant et les yeux vert foncés, un savant mélange de nos deux parents. Nous étions à Oslo pour mon père, fils de militaire et militaire lui même. Trois ans à se peler en Norvège comme il disait toujours à ma mère qui levait les yeux au ciel d'un air amusé. Mon père n'a rien du stéréotype : il est ouvert, sociable et très adaptable. Petites, on n'aurait su l'imaginer à la base et dans son travail. Pour nous c'était un homme simple, ouvert et parfois même fêtard, sachant apprécier notre compagnie sans faille et ne délaissant jamais trop longtemps sa femme pour laquelle il montrait aussi souvent que possible son amour. Vous vous en doutez : je n'ai aucun souvenir de mes premières années dans ce pays scandinave. J'étais bien trop petite, et mon père a rapidement été muté en Angleterre, terre promise depuis des années. Après le Sénégal, le Congo, et enfin la Norvège, cela lui faisait beaucoup de bien de remettre pied sur sa terre natale. D'ailleurs, nos prénoms, à mes soeurs et moi, n'ont aucune connotation nordiques comme vous pouvez le remarquer. C'était un choix qu'avait acceptée ma mère. Elle disait souvent qu'elle n'avait qu'à regarder dans nos yeux pour revenir dans son pays. Malheureusement, cela prit beaucoup de temps avant que mes soeurs et moi puissions remettre les pieds làbas, et pour les mauvaises raison. Ou plutôt La Mauvaise Raison.
En effet, lorsque je fêtais mes dix ans, ma mère nous informa qu'elle s'éteindrait bientôt pour monter au paradis. On lui avait déclaré qu'elle avait un cancer, malheureusement découvert très tardivement. Ainsi elle refusa les traitements et on monta tous à Oslo pour passer nos dernières semaines avec notre mère aux côtés de cette famille norvégienne inconnue. Evidemment, ce fut difficile et on passa tous par différents sentiments, de la tristesse au regret, passant par la haine et la peur. Je crois que nous avons toutes les six perdues une année scolaire. Notre père était formidable. Il engagea un dame qui s'occupait de nous lors de ses déplacements. Honnêtement, pour avoir grandis entre nous à Londre avec pour seul repère notre père, je ne peux pas me plaindre : notre enfance fut bonne et heureuse dans la mesure du possible.
Je ne m'attarderais pas sur mon adolescence qui fut des plus banales : drogues, alcool et sexe. Je vous tout tester, à l'excès et au plus vite. Je n'arrivait pas à respecter l'autorité autre que celle de mon père et me battait souvent. Je traitais les garçons de mon âge comme des jouets et aimait manipuler les gens autour de moi. Dans ma tête, ma vie était un terrain de jeux. Mes soeurs me regardaient parfois, quelque peu abasourdie. J'étais celle qui avait le plus de caractère, et surtout la plus instable. Cela a eu pour conséquence quelques séances chez un psychologue mais rien de bien grave. J'étais une forte tête, je pensais à cent à l'heure et je faisais semblant d'être insouciante. C'était mon caractère, heureusement que j'étais aussi plutôt intelligente. C'est grâce à cela que je m'en sortais et que je pu sortir du lycée avec les notes suffisantes pour me consacrer à des études scientifiques. En effet, prise d'une envie d'indépendance, je partais pour l'Amérique, faire mes études de médecine à Stanfort. Quelques mois me suffirent pour m'adapter à cette vie qui me paraissait être un rêve malgré le manque de mes soeurs ... mais aussi pour comprendre que je n'aurais jamais la patience de devenir médecin. Ceci n'était pas un film, je n'allais pas trouver une solution miracle au cancer, et de toute façon je n'en avais plus la volonté. Oui j'étais lâche, mais je n'aimais pas les études. J'optais alors pour devenir infirmière, chose qui me plut beaucoup malgré tout.
Lors de ma deuxième années d'études, je rencontrais Gabriel. Il était brillant, passionné, mais tout aussi imprévisible. Lorsqu'on le regardait, il semblait sage et carré, puis tout d'un coup le voilà prit d'une envie, possédé et cela devenait fou, complètement dingue. J'adorais ça. Il était merveilleux ! Pour mon anniversaire il me demanda en mariage, et dans les mois qui suivirent nous étions mariés. C'était du rapide, du express, sans aucune autre présence que nos meilleurs amis. Ma famille l'apprit par sms. Seulement, si c'était naïf, j'adorais ça. Tous mes sens en éveil, cet adrénaline qui me montait au coeur. J'en était complètement folle, tous les autres semblaient ternes à ses côtés; Je me demandais même comment j'avais pu utiliser le genre masculin alors Gabriel, lui, pouvait faire ce qu'il voulait de moi. Seulement, comme dans toute réalité, le rêve se brisa peu à peu lorsqu'on emménagea ensemble. Les conflits devenaient incessants et pour tout. Nous étions trop bouillonnant tous les deux, finalement trop pareil, rentrant l'un dans l'autre sans se respecter suffisamment. Fous d'amour, mais aussi de haine, de liberté et de vie. Cela nous mena à se décider de divorcer : nous étions encore jeune, la vie devant nous ! Dans ce tourbillon de sentiments je ne faisais plus attention à mon corps ... et ce n'est que quelques semaines après notre divorce signé et accordé que je me redis compte de l'évidence : j'étais enceinte de quatre mois ! Avec Gabriel, nous décidions de garder l'enfant. Seulement, Gabriel rencontra une autre femme peu après, et trop insouciant, perdit peu à peu contact avec moi : il répondait moins à mes appels ou à mes sms, etc. J'étais là, enceinte jusqu'au plafond. Croyait-il que je l'avais trompé ? Que ce n'était pas son enfant ? Que notre divorce faisait en sorte que l'enfant ne soit que le notre ? De moins, moi qui rêvait de nouveau d'indépendance, je n'insistais pas. C'était aussi bien de ne pas être attachée à un homme à vie non ? Je partais donc me réfugier chez mon père à Londres, mon diplômes en main et un nourisson dans la poussette. Voici ma fille, Lou. Je fus la première, celle qui rendit mon père grand-père. Alors que chacune de mes soeurs étaient parties faire leur vie, je rentrais auprès de mon père qui m'accepta les bras ouverts.
Seulement quelques semaines plus tard, il me réveilla un matin en me disant qu'il me laissait la maison. Il partait pour une mission spéciale. Je ne comprenait pas pourquoi on lui faisait ça, pourquoi on lui demandait ça à son âge ? Cela me rendait folle, je tournais en rond, grognait et pleurnichait. Je ne voulait pas perdre mon père. Oui, pour moi c'était le perdre qu'il parte plusieurs années en plein désert. & qui m'assurait qu'il reviendrait ? & sa petite fille, n'allait-il pas la voir grandir ? Après tant de tourments et pressions - je m'en veux aujourd'hui d'avoir réagie ainsi - mon père déclara que je pourrais éventuellement le suivre : c'était une possibilité vu que j'étais de la famille directe. De plus, mon diplôme d'infirmière leur serait utile si je postulais. Impulsive comme toujours j'acceptais et j'arrivais donc ici. Cela fait un an et demi aujourd'hui. Je ne suis pas malheureuse, ma fille non plus. Seulement, je me sens souvent seule aussi loin de tout ce que j'ai connue, à voir toutes ces familles partagées entre les joies et les peines, souvent plus de peines que de joies d'ailleurs. Je suis contente de ne pas avoir un mari ou un fiancé au front. Seulement j'ai quelques amants ... & je fais pourtant mon insensible. Seulement, cela va-t-il durer longtemps sachant que je viens de recevoir les résultats de mon test ? Je suis enceinte. & j'ai envie de partir d'ici, mais je ne peux me résoudre à y laisser mon père. & puis je ne voulais pas d'un autre enfant ... Complètement perdue, voilà ce que je suis. __________________________________________________________
Le soleil s'enfuit, comme un savon soudain qui glisse, quelle aventure... ” PSEUDO : LXP AVATAR : Kristen Bell OU AVEZ VOUS CONNU FG ? Bazzart DOUBLE COMPTE ? Nope'. AVIS OU COMMENTAIRE :
Dernière édition par Callie Paxton-Hawkings le Jeu 11 Mar - 21:44, édité 13 fois | |
|